Julien PIECZYNSKI

30ans

Photographe

Salut à toi qui lis ma page !

Je dois avouer que, de nature réservé et introverti, je ne suis pas nécessairement à l’aise pour parler de moi, mais il faut bien que je passe par là afin de me présenter alors autant jouer le jeu.

Mon histoire à moi commence le 23 Novembre 1993 lorsque je née dans la ville de Douai où l’on me donne le prénom de Julien, s’ensuit une enfance heureuse en compagnie de mon frère et des mes parents que je remercie au passage pour leur amour et leur patience. J’ai suivi un cursus scolaire plutôt classique, je n’ai jamais vraiment été passionné par les cours, d’un tempérament rêveur je préférai passer mon temps à dessiner ou a regarder par la fenêtre plutôt qu’à écouter mes professeurs. Me rendant compte que j’avais choisi un mauvais cursus, c’est lors de ma dernière année d’études, plus précisément une semaine avant la fin de ma licence professionnelle que j’ai décidé de tout arrêter.

En 2014 j’ai intégré un groupe participant un projet de solidarité au Sénégal, ce projet était porté par la mission locale de Douai et avait pour but de construire une maternité dans le village de Somone. Cette première expérience à l’étranger a été pour moi une réelle claque, je me suis rendu compte de beaucoup de choses, trop pour que je puisse vous en parler mais surtout que le monde ne se résumait pas à mon petit village.

En 2015 on me propose de faire du volontariat lors d’un service civique international à Madagascar, notre mission était de tourner des reportages sur la biodiversité de l’île de Sainte-Marie durant trois mois.

Avant de partir, Frustré de ne pas avoir pu prendre de photo lors de mon premier voyage au Sénégal, je décide de casser ma tirelire et d’investir dans un appareil photo numérique, juste le temps d’apprendre les règles fondamentales de la photographie et le fonctionnement de mon appareil que je me retrouve dans l’avion pour un périple de plus de 8700km. C’est alors que s’est offert à mois un théâtre splendide, de l’eau turquoise caressant des plages immaculées, la migration des cétacés et de leurs progénitures, une biodiversité incomparable, des plantes aux formes et aux couleurs somptueuses, des espèces endémiques, une culture alors inconnue, tout était nouveau pour mes yeux.

Durant cette période, la photographie m’a permis de m’exprimer, de communiquer avec mon entourage et de rapporter la beauté de ce monde.

Fin 2017 et après plus de deux années de travail, je pars au Sénégal avec des amis sous la bannière de notre association Root’Trip que nous avons crée en 2015, l’association à pour objectif de favoriser l’échange culturel aux travers de projets de solidarité internationale.

Pour ce premier projet nous nous sommes greffés à l’association sénégalaise Guelewar, avec qui nous avons construit une partie d’un centre de documentation et d’orientation au collège/lycée de Ngaparou. Même si l’objectif premier de ce voyage n’était pas de prendre des photos, l’occasion était trop grande, j’ai donc mis mon appareil photo et mes compétences au service de l’association lors de nos galères sur le chantier, de nos interventions dans les écoles, de nos visites culturelles ainsi que lors de nos rencontres artistiques et sportives.

Cette expérience a été pour moi l’opportunité de rendre utile mon savoir-faire et mon point de vue artistique.

2018 a été pour moi une année assez complexe.

J’avais dans l’optique de reprendre des études dans le domaine de l’art, j’ai alors décidé de m’inscrire et de passer un concours d’admission dans une école d’art du Nord de la France, mais lors de mon entretien avec le jury tout ne s’est pas bien passé comme prévu et mes espoirs furent brisés. Sans entrer dans les détails s’en ai suivi des soucis qui ont été compliqué à gérer pour moi, j’ai donc décidé de prendre un billet pour le Portugal afin de respirer, prendre des photos et de me changer les idées, j’ai donc passé une semaine à arpenter les ruelles et les monuments de la magnifique ville de Porto.

Lors de cette période compliqué d’un point de vue personnel la photographie a eu le rôle d’exutoire.

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